Selon une enquête de 2021 menée conjointement par l’école informatique Epitech et l’institut Ipsos, les femmes sont sous-représentées dans le secteur du numérique notamment du fait d’une méconnaissance de ces métiers et de par l’environnement familial. Cela étant dit, il s’agit d’un enjeu social où chacun se doit d’agir et où la notion de responsabilité des entreprises entre en jeu. Ici, nos collaboratrices se font écho de cet état de fait, reviennent sur leurs parcours et témoignent de ce que c’est qu’être, pour elles, une femme en Tech.

Shopopop s’attache à diffuser une culture incluant plus de diversité au travers d’annonces inclusives et de fiches de poste relues par des hommes et des femmes. Les managers veillent à proposer le même mentoring et les mêmes opportunités d’évolution tout en veillant à cerner ce que les personnes aiment et ce qui les attire. Ainsi, Céline – l’une de nos Développeuses Back-End – s’est vue attribuer des responsabilités au fur et à mesure de son parcours chez Shopopop. Intervenir dans les écoles fait aussi partie de nos projets à venir !

Chez Shopopop, Tech et Produit sont vus comme une seule entité. Les femmes représentent 1/3 des effectifs du service : 2 Développeuses Front-End, 1 Développeuse Kotlin, 3 Développeuses Back-End, 2 Product Designers et 2 Product Owners.

50 % sont issues de la reconversion. Elles ne connaissaient pas les métiers du numérique, cela ne faisait pas partie de l’univers familial ou encore on ne leur avait pas parlé de ces métiers lors de leurs études. Julia, quant à elle, avait en tête le « cliché du mec barbu qui code dans son coin » et cela ne l’attirait pas. Elles ont découvert cet univers plus tard via leur conjoint ou leurs amis qui évoluaient dans ce secteur, suite à des bilans de compétences ou par expérience : « Dans mon précédent job, j’utilisais WordPress et j’ai dû « mettre les mains dedans". C’est là que je me suis aperçue que j’aimais ça et que j’ai voulu aller plus loin. » témoigne Céline.

👩 Je m'appelle Angélique, je suis développeuse web front-end et je suis chez Shopopop depuis presque 1 an. En tant que Développeuse Front-End, je suis en charge d’optimiser l’ergonomie et la navigation d’un site web.

💼 Initialement j'étais chargée des chargées des ressources humaines puis juriste conseil client pendant 6 ans. Lors de ces 6 années, je suis devenue une juriste support en droit social puis j'ai évolué en tant que Responsable du pôle droit social. J'avais 6 personnes à manager et je dispensais des formations à mes collègues. Puis j'ai tout plaqué pour me reconvertir.

🐣 Quand j'étais petite, je voulais être juge aux affaires familiales afin de protéger au maximum les enfants lors des divorces.

♂️♀️ La mixité en Tech c'est assez complexe comme sujet. Effectivement il y a plus d'hommes dans les développeurs mais la présence des femmes est de plus en plus importante. Cependant, on reste quand même sur un univers très masculin avec des sujets de conversation très différents de ceux qu'on peut avoir dans des milieux mixtes. On reste dans un monde très « geek » où les jeux vidéo et la bière sont très fédérateurs. Quand on est une femme plutôt portée sorties entre filles, spa et série à l'eau de rose on peut vite se sentir isolée et perdue.

📲🛍 Chez Shopopop, il y a beaucoup de femmes dans la Tech puisque nous représentons plus d'1/3 de l'équipe. C'est un vrai plus pour s'intégrer surtout lorsqu'on est issue de reconversion. Mais ce qui compte ce n'est pas ton sexe, ce sont tes compétences et c'est appréciable. Le « clivage » des sujets de conversation existe aussi mais il est compensé grâce à la diversité des profils.

👩 Je m'appelle Julia, je suis développeuse web Front-End et ça fait bientôt 6 ans que je suis à Shopopop. Je travaille avec Angélique et mon travail est le premier élément que les utilisateurs verront car c’est ce qui est visible sur vos écrans !

💼 Je n'ai pas toujours été dans le développement. J'ai commencé ma vie professionnelle en faisant des missions d'intérim (mise en rayon, conseil client, nettoyage... tout ce qui se présentait à moi et que je me sentais en capacité de réaliser). J'ai appris le développement web en autodidacte car je créais des sites web en amatrice ainsi que des jeux-vidéos. En discutant avec un ami, j'ai décidé de suivre une formation de 8 mois, assez intense. Ça a été une superbe expérience et 4 mois après la formation je rentrais chez Shopopop !

🐣 Quand j'étais petite je n'avais pas spécialement d'envie au niveau professionnel. Je me souviens de répondre à mes parents « J'veux être scientifique ! » mais je ne savais pas réellement ce que cela impliquait derrière ou à quoi cela correspondait. Par contre, j'ai toujours beaucoup dessiner. J'aimais créer des jeux de plateau et faire de belles présentations pour les livres de règles des jeux que je rédigeais. C'est vers mes 13/14 ans que j'ai commencé à « coder » mes premiers jeux vidéo. En fait, j'ai toujours eu une envie de créer et le métier que je fais actuellement, Développeuse Front-End, me permet vraiment de m'éclater (avec bien entendu des choses un peu moins fun à faire comme dans tout métier... mais majoritairement c'est génial).

♂️♀️ Côté mixité à la tech, avant de vraiment me lancer dans le développement, j'avais cette image en tête du développeur typique, un peu cliché, représenté comme un homme barbu solitaire qui travaille dans l'ombre. Cependant, j'ai vite appris que la réalité est bien plus diverse que cela, avec une grande variété de personnes, de personnalités et de styles de travail dans le secteur de la tech. Puis je me suis lancée dans la formation : il y avait pas mal de filles contrairement à ce que l'on pourrait croire. En fait, le centre de formation veillait à ce que ce soit le plus mixte possible, c'était un de leur objectif. J'ai eu la chance de suivre une formation de 8 mois, qui avait pour objectif de créer une communauté de développeurs diversifiée et inclusive. Cette initiative visait à encourager la participation des femmes et des minorités dans le domaine de la tech, en offrant un environnement de travail accueillant et inclusif. En tout cas cette mixité est importante à mon sens, car après tout, les technologies touchent toutes les personnes donc il est bien que la majeure partie des personnes qui la compose soit la plus représentative possible de la société dans son ensemble. Cela permet aussi d'avoir plus d'avis et d’idées variées, ce qui peut conduire à des innovations et des solutions plus créatives. Il est surtout important de ne pas s'interdire un métier (surtout si c'est un métier / un secteur qui nous attire et que l'on aime) pour une question de genre ou le sentiment de ne pas « être à sa place ». Ce serait vraiment trop dommage ! D'autant plus que notre idée ne correspond pas forcément à la réalité comme je l'ai moi-même vécue. Il ne faut pas avoir de regrets, peu importe le chemin emprunté !

📲🛍 En ce qui concerne la mixité à la Tech chez Shopopop on est pas mal, on est même vraiment pas mal. Au pôle Front par exemple nous sommes à 50/50 (2 filles, 2 gars). J'espère que ça continuera.

👱‍♀️ Je m’appelle Eugénie, je suis Product Owner, en charge de l'application mobile, le produit à destination de nos cotransporteurs. Mon métier consiste à récolter les besoins des utilisateurs ou des autres équipes chez Shopopop et de faire le lien avec l'équipe de développement mobile. Je suis arrivée chez Shopopop en août 2022.

💼 Après des études en UX design et gestion de projets, j'ai commencé par travailler dans un cabinet de conseil en IT pendant 4 ans avant d'arriver chez Shopopop. Lors de cette première expérience j'ai pu travailler auprès de clients variés, plutôt des grands groupes et dans différents services IT/ Tech.

🐣 Quand j'étais petite je voulais être architecte puis médecin, des milieux pouvant aussi être considérés comme peu mixte selon moi.

♂️♀️ Pendant mon expérience dans le conseil IT, chez différents clients, j'ai régulièrement été confrontée à des environnements peu mixte, voire où j'étais la seule femme. J'ai régulièrement eu la sensation de devoir faire d'autant plus mes preuves et de redoubler d'efforts pour être crédible auprès de mes clients ou collègues masculins présents parce que j'étais une femme. J'avais souvent l'image d'une jauge de crédibilité qui aurait été rempli dès le départ pour mes collègues masculin et parfois elle peut se vider, se remplir. Tandis que pour une femme, elle est de base vide et il faut la remplir en redoublant d'effort. Au final ces situations permettent de s'endurcir et d'être plus assidues dans son travail.

📲🛍 La mixité chez Shopopop est excellente selon moi et je ne ressens aucune différence de traitement de faveur, de facilité, de crédibilité entre les hommes et les femmes dans le pôle tech. Je ne retrouve pas l'expérience que j'ai pu vivre auparavant dans le cabinet de conseil.

👩 Je m’appelle Nolwenn, je suis Product Designer au sein de la team tech de Shopopop et ce depuis presque 6 ans. Mon métier consiste à analyser les besoins et les attentes des utilisateurs et de les retranscrire au travers d’une solution accessible et simple d’utilisation. Je suis arrivée chez Shopopop en stage de Bachelor, puis j’y suis restée en alternance en tant que Webdesigneuse, pour ensuite intégrer la team Produit en tant que Product Designer.

💼 J’ai un bac scientifique, après lequel je me suis dirigée vers un BTS SIO (de la programmation au sens large : web, POO, mobile, mais aussi du réseau). Donc milieu très masculin, on était 3 filles sur 24 élèves. J’ai ensuite continué mes études pour avoir un Master en Direction Artistique option Web Designer à Nantes.

🐣 Quand j’étais petite, je voulais être vétérinaire ! J’avais fait mon stage de 3ème chez un vétérinaire, j’avais adoré mais... 8 ans d’études... Je n’étais pas motivée en sortant du lycée.

♂️♀️ Pour moi, le mot « Tech » a le dos large en ce qui concerne la mixité. Par Tech, on sous-entend souvent développeurs, ou ingénieur tech, qui sont des métiers que l’on croit naïvement « masculins ». C’est un fait, il y a plus d’hommes que de femmes dans ces milieux, mais un grand nombre de métiers tech sont encore trop peu connus pour attirer les femmes des jeunes générations, même si c’est déjà beaucoup mieux qu’il y a quelques années. Me concernant, je n’ai jamais été confrontée à une difficulté dans mon parcours lié à la mixité. Je pense que c’est aussi lié à la personnalité de chacun.e.

📲🛍 Chez Shopopop, on est 10 femmes en Tech, tous métiers confondus : des mamans, des femmes seules, des femmes mariées, des femmes indépendantes, des femmes toutes différentes mais dont les connaissances et les expertises ont autant de valeur que celles des hommes !

Lorsque le sujet de la mixité et de la parité en Tech a été abordé pour cet article, les hommes se sont montrés très intéressés à en parler. Là où certaines de leurs collègues pouvaient être gênées et mal à l’aise d’aborder « publiquement » le sujet, eux se sont montrés ouverts à la discussion et concernés. C’est d’ailleurs un sujet qui circule au sein de la Tech puisque plusieurs d’entre eux et elles avaient récemment indiqué des ressources sur le sujet dans le canal Slack de la Tech : une conférence « Féminisation dans la Tech : la communication, ou l'échec de tout un secteur », un livre « Technoféminisme » de Mathilde Saliou, et un podcast de WeLoveDevs parlant de parité et des femmes dans l’IT au travers des témoignages de Marie et Marianne d’Eleven Labs.

Les hommes témoignent du fait que travailler dans une équipe mixte n’apporte pas la même chose. Il y a « un autre feeling », « une autre ambiance ». Ils trouvent ça dommage que le sujet soit encore posé car le genre n’influence en rien la performance et ils rattachent la question du genre davantage à la diversité et à la richesse qu’elle représente. D’ailleurs, nous revenons sur les grandes figures féminines de l’histoire et sur leurs inventions qui résonnent encore aujourd’hui dans cet article.

Chez Shopopop, au-delà de la mixité, c’est la diversité que nous cherchons à garder. Cela passe avant tout par le recrutement : il ne faut donc pas se cacher derrière la phrase « On prendra la personne qui fit le mieux avec le poste ». En effet, s’en tenir à cette phrase c’est s’en tenir à ses propres biais – conscients et inconscients – qui nous amènent bien souvent à préférer ce qui nous ressemble. Sans aller jusqu’à faire de la discrimination positive, un recrutement inclusif est un processus qui assure une égalité de traitement et de chance aux candidats et candidates de tous horizons. L’enjeu est donc davantage de faire changer les habitudes via la rédaction des offres d’emplois inclusives, un sourcing diversifié pour des candidat(e)s différent(e)s (profils issus des grandes écoles ou de la reconversion, la cooptation, les réseaux sociaux par exemple), une grille d’entretien pour une sélection objective, une intégration inclusive via des ambassadeurs internes… L’objectif est de donner envie aux candidates mais aussi d’aller les chercher !

Découvrez les interviews de femmes Tech travaillant à Shopopop. En reconversion ou non, les femmes de Shopopop partagent leur parcours et leur vision de l'univers Tech.

Les femmes Tech à Shopopop

Du XIX° siècle à la Seconde Guerre mondiale, la programmation est essentiellement effectuée par des femmes et l’histoire de la Tech est jalonnée de grandes figures féminines dont les inventions résonnent encore aujourd’hui . Dans les années 50, la moitié des effectifs du secteur informatique sont encore des femmes. Pourtant, dans les années 90 que le nombre de femmes dans les filières numériques chute. Cette sous-représentation actuelles des femmes dans le domaine du numérique découle de plusieurs facteurs exposés que nous vous présentons ci-dessous.

Selon une enquête de 2021 menée conjointement par l’école informatique Epitech et l’institut Ipsos, les femmes sont sous-représentées dans le secteur du numérique puisqu’elles représentent seulement 30 % des salariés, tous métiers confondus.

Cela s’explique notamment par la disparité que l’on peut observer dans les choix d’orientation. En effet, si 57 % des diplômés de l’enseignement supérieur sont des femmes, seules 25 % d’entre elles obtiennent un diplôme dans les filières du numérique, et 13 % de ces diplômées travaillent effectivement dans le secteur du numérique.

Cette sous-représentation des femmes dans le domaine du numérique découle de plusieurs facteurs.

Les stéréotypes des parents éloignent les filles des métiers du numérique

Les parents sont les principaux prescripteurs en matière d'orientation, devant les professeurs, les professionnels ou un tiers. Les choix d’orientation des jeunes se font aussi en fonction de leur genre. Ainsi, seulement 33 % des filles sont encouragées par leurs parents à s’orienter vers les métiers du numérique contre 61 % des garçons.

Comment expliquer, qu’alors même qu’elles obtiennent plus de 14/20 de moyenne dans les matières scientifiques et que 56 % des lycéennes sont intéressées par l’informatique / le numérique, que seulement 37 % de celles-ci envisagent de s’orienter vers une école d’informatique ou une école d’ingénieur ?  Plus sévères avec elles-mêmes quant à leur niveau, seulement 36 % des filles pensent avoir le niveau pour suivre une formation en école d’informatique contre 62 % des garçons, les parents étant du même avis.

Les critères de choix des lycéens pour leur futur métier sont déjà clairs et, en réalité, très peu différents selon les sexes. Ce sont plutôt les parents qui projettent des attentes différentes. De fait, la possibilité de concilier vie privée et vie professionnelle est citée en 2ème position pour les parents de filles, contre la 5ème position pour les parents de garçons. Pourtant, tout le monde, lycéens comme parents, s’accorde sur le fait qu’il s’agit de métiers bien rémunérés, d’avenir et qui permettent d’agir sur les grands enjeux d’aujourd’hui. Tout ceci devrait donc plaider pour les métiers du numérique.

La mauvaise connaissance des métiers du numérique

Mais le secteur du numérique est mal connu : 70 % des lycéens et lycéennes disent ne pas connaître le métier d’expert informatique alors qu’ils sont 73 % de lycéens et 60 % de lycéennes à dire qu’ils aimeraient travailler dans un domaine du numérique quand ces domaines leurs sont cités. 

Moins informées sur ces métiers et moins encouragées à les choisir, les filles sont de fait moins exposées à un discours positif sur les écoles d’informatique et les métiers du numérique. Ainsi, les perceptions négatives l’emportent : les métiers du numérique sont souvent jugés trop techniques, solitaires, ennuyeux et monotones. De plus, ces métiers sont considérés comme des métiers masculins où les femmes y trouvent difficilement leur place (38 % des lycéennes et 33 % des lycéens).

On voit donc que la sous-représentation des femmes est un fait de société et a un vrai coût économique, en plus d’être porteuse d’inégalités. Le secteur du numérique est celui qui générera le plus de nouveaux emplois dans les années à venir et en exclure les femmes serait les priver d’opportunités d’emploi dans un secteur en forte croissance, avec de fortes perspectives de carrières, d’un statut prestigieux et d’emplois bien rémunérés. Selon la Commission Européenne, si les femmes occupaient autant d’emplois que les hommes dans le secteur du numérique, le PIB européen connaîtrait un gain d’environ 9 milliards d’euros par an. Pour la France, la parité dans le secteur du numérique générerait 10 % de PIB supplémentaire d’ici à 2025 selon une étude de McKinsey.

Au-delà de l’aspect économique, la prédominance des hommes induit un certain sexisme ordinaire dans la conception même des technologies. Par exemple, l’application mobile « Santé » d’Apple (permettant de suivre sa santé, ses efforts, performances et évolutions physiques) n’a pas permis pendant longtemps de renseigner le cycle menstruel des utilisatrices alors que celui-ci a un impact sur les performances et la santé de chacune. On en trouve aussi trace dans l’intelligence artificielle, induisant des technologies biaisées, comme par exemple avec les problèmes de reconnaissance faciale des femmes noires. En effet, les données apportées à l’IA sont majoritairement des photos d’hommes blancs. Les données sont le miroir des inégalités et discrimination de notre société.

En conclusion, ce n’est pas seulement aux femmes de faire face aux inégalités hommes et femmes. Il s’agit de prendre conscience que c’est un problème social et que chacun se doit d’agir. Ainsi, la notion de responsabilité des entreprises entre en jeu, ce qui se ressent au travers des parcours de nos collaboratrices.

Découvrir l'univers féminin de la Tech à travers des chiffres, montrant en évidence leur présence dans cet univers pas seulement masculin !

Les femmes Tech en quelques chiffres

Tech : Où sont les femmes ? Les chiffres

A l’occasion de la journée des Femmes et Filles de sciences, Shopopop revient sur les figures féminines historiques du secteur qui ont marqué l'histoire.

Les femmes et la Tech : une vieille et belle histoire

Du XIX° siècle à la Seconde Guerre mondiale, la programmation est essentiellement effectuée par des femmes. Dans les années 50, la moitié des effectifs du secteur informatique sont encore des femmes. Elles resteront majoritaires jusqu’aux années 70. Dans les années 80, 40 % des diplômes informatiques étaient encore délivrés à des femmes en Europe et aux Etats-Unis. Revenons sur les grandes figures féminines de l’histoire et sur leurs inventions qui résonnent encore aujourd’hui.

Ada Lovelace : icône féministe et pionnière en science informatique

Ada Lovelace (1815-1852) est la fille du poète Lord Byron et d’une mathématicienne, Anne-Isabelle Milbanke. Elle va suivre une éducation approfondie en mathématiques et en sciences, ce qui était tout à fait inhabituel dans l'éducation d'une jeune fille de la noblesse de l'époque.

Ada Lovelace va collaborer avec le mathématicien Charles Babbage, inventeur de l’ancêtre de l’ordinateur : la machine analytique. C’est en 1843 qu’elle va concevoir ce qui est aujourd’hui considéré comme le premier programme informatique au travers d’une écriture formelle des instructions à employer avec une machine analytique pour réaliser des calculs donnés. Elle a également décrit plusieurs possibilités offertes par les calculateurs universels, ce qui allait bien au-delà du calcul numérique et de ce qu'imaginaient ses contemporains.

Hedy Lamarr (1914-2000) va faire carrière dans le cinéma mais pas seulement. Elle a également marqué l'histoire des télécommunications en inventant avec le compositeur George Antheil un moyen de coder des transmissions. Elle va ainsi déposer un brevet pour sécuriser les télécommunications via étalement de spectre par saut de fréquence en 1941. Ce principe de transmission est toujours utilisé pour les liaisons wifi et bluetooth, le positionnement par satellite ou les liaisons chiffrées militaires par exemple.

Ils créent alors un « système secret de communication » : le brevet décrit un système de variation simultanée des fréquences de l'émetteur et du récepteur, selon le même code enregistré. Dans le but d'aider les Alliés dans leur effort de guerre, ils rendent leur invention immédiatement libre de droit pour l’Armée des Etats-Unis. Cependant, cette idée était tellement novatrice que l’armée américaine l’a d’abord perçue comme « irréalisable » et elle ne fut pas mise en pratique à l'époque. Officiellement, c’est lors de la crise des missiles de Cuba et pendant la guerre du Viêt Nam que le procédé fut utilisé pour la première fois par l'armée américaine. Lorsque le brevet tomba dans le domaine public en 1959, le dispositif fut récupéré par les fabricants de matériels de transmission, notamment les fabricants de téléphones portables. 

Pourtant, Hedy Lamarr n'a jamais reçu de compensation financière pour son invention : la législation américaine n'accordait que 6 années après le dépôt de brevet pour la réclamer. D’autre part, il lui était répondu que son invention n'avait pas servi.

Jusqu'à sa mort, elle continuera de produire des inventions et laissera derrière elle de nombreux projets jetés sur le papier.

Les « ENIAC six » : les premières à programmer l’un des premiers ordinateurs de l’histoire

En 1945, Kay McNulty, Betty Jenning, Betty Snyder, Marlyn Meltzer, Fran Bilas et Ruth Lichterman, surnommées les «ENIAC six», prennent part à un projet secret consistant à programmer un super ordinateur pour un calcul balistique.

Leur travail consiste alors à identifier les étapes des calculs pour les tables de tirs balistiques et à câbler physiquement l’ordinateur. Ce qui n’est pas une mince affaire car l’ENIAC c’est :

l’utilisation de 18 000 tubes électroniques.

Ainsi, ce grand monolithique était de 100 à 1000 fois plus rapides que les appareils électromécaniques. En revanche, il fallait le câbler de nouveau pour l’exécution de chaque programme.

Débranché 10 ans après sa mise en service, l’ENIAC a eu une influence majeure sur la croissance de l’informatique électronique.

Vous connaissez aussi certaines des « ENIAC six » pour ce qu’elles ont fait ensuite, comme Grace Hopper qui a imaginé la notion de « compilateur », un programme capable d’associer un code source et un langage plus accessible pour les développeurs, en développant le premier modèle d’ordinateur en 1952. Ou Mary Keller, qui, elle, soutient la première thèse en informatique et obtient un doctorat en 1965. Ou encore Margaret Hamilton à qui l’on doit le terme de « software engineering » et qui conçut le système embarqué du programme spatial de la mission Apollo 11… Au cours de laquelle des hommes se sont posés sur la Lune pour la première fois, le 21 juillet 1969.

Annie Easley : ordinateur humain et voitures hybrides

Annie Easley (1933-2011) est une informaticienne, ingénieure et mathématicienne. C’est l’une des premières informaticiennes à travailler pour la NACA et l’organisation qui lui succède, la NASA. Elle a commencé sa carrière comme « ordinateur humain », faisant des calculs de simulations du réacteur Plum Brook qu'elle réalise à la main. Elle étoffe ensuite ses compétences et devient programmeuse (Fortran et SOAP). Elle finira par diriger l’équipe d'analystes programmeurs de l’étage de fusée Centaur où elle développe les codes de plusieurs systèmes de conversion d'énergie notamment pour les véhicules à batteries. 

Son travail au Lewis Center va notamment servir au développement de plusieurs études portant sur l’aéronautique et l'informatique. C’est elle qui a développé et mis en œuvre le code qui a conduit au développement des batteries utilisées dans les voitures hybrides.

Ainsi, il est frappant de voir que l’histoire de l’informatique n’est pas uniquement le domaine des hommes, et que les femmes ont été des pionnières du secteur de la Tech. Pourtant, en l’espace de 20 ans, la place des femmes dans le secteur informatique s’est réduite de moitié. Ainsi, en 1982, 35 % des emplois d’informaticiens en France sont occupés par des femmes. Aujourd’hui, 12 % de femmes travaillent dans ce secteur en France. La sous-représentation des femmes dans le secteur du numérique est donc un fait récent et l’histoire démontre que lorsqu’un champ du savoir prend de l’importance dans le monde social, il se masculinise.

En effet, c’est dans les années 90 que le nombre de femmes dans les filières numériques chute. D’une part, l’informatique est devenue un enjeu stratégique avec l’importance du traitement et de l’analyse des données et l’avènement de l’intelligence artificielle. On assiste alors à une masculinisation du secteur. D’autre part, avec l’arrivée des ordinateurs individuels, les foyers s’équipent. Mais ce sont majoritairement les hommes (pères et fils) qui en ont l’usage.

Ainsi, l’histoire de la Tech s’est construite notamment au travers de grandes figures féminines que l’on redécouvre actuellement. Pourtant, la place des femmes dans le secteur du numérique pose aujourd’hui question car celles-ci sont sous-représentées dans le secteur du numérique. C’est fait de société qui découle de plusieurs facteurs , et dont nos collaboratrices témoignent.

Découvrez les portraits de femmes ayant participé à l'histoire de la Tech dans le monde. Elles ont apporté des améliorations importantes qui ont participé au développement du digital jusqu'à aujourd'hui.

L'histoire des femmes dans la Tech

Plutôt pilote ou matelot ? Équipage ou bataillon ? Découvrez “Les badges”, une toute nouvelle fonctionnalité disponible sur l’app Shopopop qui vous propose de relever des défis et collectionner des badges. Curieux d’en savoir plus ? On vous dit tout dans cet article !


L’idée derrière les badges ? Mettre à l’honneur votre implication dans l’aventure Shopopop et récompenser votre sens de l’entraide. Une première livraison, un nouveau parrainage, un trajet régulier… Sur l’app Shopopop, vous pouvez désormais gagner des badges en fonction de votre parcours et vos actions. 

Pour relever les défis qui vous sont proposés et devenir un vrai ambassadeur, rendez-vous dès maintenant sur votre profil Shopper, dans l'onglet "Badges". Vous pourrez y consulter les badges déjà débloqués et les missions à accomplir. À vous de jouer !

11 badges sont disponibles sur l’application Shopopop. On vous révèle quand et comment (tous) les décrocher !

Rien de plus simple pour commencer votre collection : décrochez vos tout premiers badges en quelques clics lors de votre inscription.

Ici, on vous met au défi de renseigner un maximum de trajets réguliers (jusqu’à 6 trajets) dans l’application. Un aller-retour au travail ou à la salle de sport ? Indiquez le dans “Mon profil” > “Mes trajets réguliers”.

Matelot : 3 trajet réguliers renseignés

Capitaine : 6 trajets réguliers renseignés

Vous le savez, Shopopop c’est une aventure humaine et collaborative, alors n’hésitez pas à passer le mot autour de vous et à parrainer vos proches ! Pour chaque nouveau parrainage effectué, recevez un nouveau badge :

Tribu : 5 filleuls parrainés (et plus) !

Et comme d’habitude, 5 euros sont crédités sur votre cagnotte par parrainage. Retrouvez votre code parrain dans “Mon profil” > “Parrainer un ami”.

Partagez dès maintenant vos badges obtenus sur le Groupe Facebook des Shoppers, et restez à l’affût… il se pourrait que de nouveaux badges arrivent bientôt !

 Rendez-vous sur l'app pour débloquer tous les badges !

Alors, prêt à relever tous ces défis ?

Ils sont nouveaux, ils sont tous beaux... Voici les badges disponibles pour nos Shoppers ! Découvrez en plus sur leur fonctionnement et comment les avoir.

Découvrez les badges sur l'application Shopopop

Partez à la conquête des badges sur l’app Shopopop

Nous terminons notre parcours dans les coulisses de Shopopop en partant à la rencontre de Jérémi, Inside Sales ! Retrouvez son interview en vidéo, ou par écrit ci-dessous ⬇️

Découvrez Shopopop avec Jérémi, commercial sédentaire BtoB

Bonjour Jérémi, peux-tu te présenter ?

Bonjour, je m’appelle Jérémi, je suis au poste d’Inside Sales chez Shopopop depuis février 2021. 

Mes missions au quotidien en tant qu’Inside Sales c’est le démarchage et la prospection des commerces de proximité sur toute la France. Donc beaucoup d’appels et de mails, l’objectifs étant de suivre le lead ou le prospect du début à la fin : du premier contact, en passant par la signature et l’accompagnement pour faciliter son quotidien.

Ce que j’aime dans mon métier c’est surtout le côté relationnel, échanger avec les gens et leur apporter une solution pour faciliter leur quotidien et qu’ils se reconcentrent sur leur métier et sur leur vraie valeur ajoutée. Il y a aussi cette satisfaction de réussir à convaincre les gens qu’on peut les aider à faire mieux, à être plus à l’aise dans leur quotidien et dans leur activité. Et le dernier point c’est de participer à l’expansion et au développement de la société.

Et qu'est-ce que tu aimes chez Shopopop ?

Ce que j’aime le plus chez Shopopop c’est le dynamisme de l’entreprise et de mes collègues. Quand je suis arrivé je cherchais un vrai challenge et l’entreprise m’a permis de dépasser mes limites et de me montrer qu’ensemble on est tous capables de faire de grandes choses. 

J’aime aussi l’ambiance car elle est vraiment saine. On est tous là pour s’accompagner et s’emmener vers le haut. Quand il y a des gens qui sont un peu moins bien, on va aller derrière eux pour les pousser. 

Et le dernier point c’est qu’on est un peu plus que des collègues, on n’est pas anonymes à Shopopop. On est capables de rigoler tout en restant concentrés pour travailler et je pense que ça pousse tout le monde vers le haut.

Vous aussi, rejoignez Shopopop et participez à l'évolution de l'entreprise !

Jérémi vous emmène dans le coeur de son métier chez Shopopop à travers une courte interview. Retrouvez le en vidéo ou par écrit ci dessous !

Portrait interne : Jérémi, un de nos Inside Sales

Rencontrez Jérémi, Inside Sales chez Shopopop

Avec le Covid, les entreprises et leur manière de travailler ont été bouleversées et depuis 2 ans, de nouvelles normes se mettent progressivement en place. Comme ailleurs, la question du télétravail s’est posée chez Shopopop et fait encore débat 🗨🗯💭

L’avenir et le présent du travail sont en train de fusionner et de nombreuses questions restent sans réponse : quelle est la nouvelle normalité ? Comment Shopopop peut l’adopter ?

Pour ouvrir la discussion, Antoine, l’un de nos co-fondateurs, a voulu partager ici son point de vue sur le sujet, expliquer comment nous l’abordons chez Shopopop et dans quel modèle nous nous inscrivons aujourd’hui !

“Pour le recrutement, ça serait beaucoup plus simple si on autorisait le full remote.”

“Tu as vu, AirBnb a passé toutes ces équipes en full remote.”

Que ce soient les personnes nous ayant déjà rejointes ou celles qui vont nous rejoindre prochainement, nous partageons une même vision de l’entreprise : un lieu de vie, un lieu de partage, où les interactions sociales sont clés que ce soit pour la performance de l’entreprise ou pour le développement et l’épanouissement de chacun(e).

Pour la petite histoire, Shopopop ne faisait pas du tout de télétravail avant le confinement. Celui-ci a été l’occasion de voir que la distance n’empêchait pas la performance. D’autre part, l’équilibre vie pro / vie perso correspond à nos valeurs et le télétravail est l’un des outils pour les rendre concrètes et les faire vivre à nos collaborateurs en offrant une flexibilité plébiscitée par ceux-ci. Pour autant, à la sortie de chaque confinement, le manque de lien social et de contact direct avec les collègues se faisait ressentir.

Au contact des autres, on apprend — notamment de l’informel — et rien n’a remplacé jusqu’à présent la fameuse discussion autour de la machine à café. Elle permet parfois d’avancer bien plus efficacement que ne l’aurait fait 3 réunions. Elle rapproche aussi les gens au travers de discussions qui n’émergent pas sur Slack ou en visio : “Je suis en train de faire construire, personne n’a un artisan à me recommander ?”, “Tu vas à quelle salle de sport ?”, “Comment tu gères ton compost ?” L’esprit d’équipe naît de ces interactions anodines avec l’éclosion d’un véritable esprit de corps où l’entraide et le soutien des pairs sont centraux.

Le rire, les émotions, l’émulsion qui se crée lors des repas le midi ou à l’occasion d’une pause créent « l’âme » de Shopopop et sont beaucoup plus fédérateurs que ne le sera jamais un like ou un GIF en commentaire via un canal plus structuré comme Slack ou le daily.

Par exemple, d’une discussion triviale sur la difficulté à vendre sur Vinted, un vide dressing a été organisé au sein de Shopopop : chacun et chacune pouvait ramener ce qu’il voulait et ce qui n’était pas vendu / échangé pouvait être donné comme don à l’Ukraine.

Antoine est convaincu que le management de l’humain est plus sain avec des échanges physiques. Le langage corporel transmet 70% du message. Or, avec les échanges à distance, nous perdons ce médium fondamental et les échanges écrits sont moins subtiles et plus susceptibles d’être mal ou sur interprétés. De la même manière, dans les réunions à distance, il peut être plus délicat de prendre la parole et de se faire entendre.

Le modèle du full remote correspond certainement à certaines entreprises qui valorisent autrement les échanges au quotidien.

A ce jour, Shopopop prend donc le parti de se priver de certains recrutements pour rester aligné avec ses valeurs. En effet, celles-ci se concrétisent autour des moments d’échange, du plaisir à partager des émotions ensemble — que ce soit pour fêter une réussite ou pour faire face ensemble à l’adversité –, donner l’occasion à des échanges imprévus de naître et qu’ils soient source de créativité notamment en permettant à différents collaborateurs de se croiser et de créer une synergie qui n’avait pas été pensée / perçue auparavant. L’entreprise grandissant, il est important de donner l’opportunité à tous de se croiser, de se connaître, de comprendre les problématiques des uns et des autres, et parfois d’y répondre de manière spontanée.

Faire du collaboratif et créer du lien au travers de la livraison c’est bien, mais le promouvoir et le vivre au sein de son organisation c’est encore mieux non ? 😉

L’un des principaux enjeux pour une entreprise de la tech comme Shopopop réside autour de l’attraction de talents partageant une même vision de ce que doit être l’expérience collaborateur :

- Une mission qui a du sens en (re)donnant du bon sens à la livraison en optimisant les trajets de chacun et en la centrant autour du lien humain ;

- Le pouvoir de prendre des décisions et d’avoir un impact ;

- Un contexte de confiance mutuelle et de responsabilisation qui permet d’être flexible et d’avoir une harmonie entre vie professionnelle et vie privée.

De plus, l’expérience collaborateur se vit au travers de l’ensemble des ressentis et des interactions d’une personne au sein de son entreprise, de son embauche à son départ. Elle concerne aussi bien le quotidien de travail que des événements clefs. Y prêter attention c’est être attentif à la qualité des rapports humains que les gens peuvent entretenir à la fois au sein de leur équipe et au sein de l’entreprise toute entière. C’est promouvoir différents modes de travail, en équipe ou en solo, en présentiel ou à distance, chacun étant complémentaire de l’autre. Le management est alors réfléchi en ce sens avec un fonctionnement agile et horizontal où les managers sont accessibles et la parole de chacun entendue. Un accompagnement de proximité avec des points mensuels permet de faire remonter le bon comme les axes d’amélioration.

Le cadre de travail est aussi un facteur. Chez Shopopop, nous souhaitons permettre le télétravail pour ses atouts : moins de sollicitation impromptues, possibilité de mieux concilier vie professionnelle et vie personnelle… Mais nous voulons encourager au maximum le présentiel. Shopopop ayant fait le choix de ce fonctionnement hybride, nous venons de déménager dans des locaux flambants neufs à proximité de la gare, facilement accessibles en transport en commun ou en vélo. Ceux-ci offrent 2 grandes terrasses, des baies vitrées dans l’ensemble du bâtiment, un grand espace commun et des espaces plus intimes pour favoriser les échanges et la convivialité.

Dorénavant, tout le monde sera présent au bureau le mardi : cette journée devient propice aux événements internes et à l’animation de la vie d’entreprise avec la présentation des projets en cours, des métiers de l’entreprise (pour comprendre ce que font les collègues et quelles sont leurs problématiques), partager un moment d’engagement… Sans pour autant que les emplois du temps professionnels ou personnels n’en soient chamboulés. Nous souhaitons aussi rendre ce lieu ouvert sur l’extérieur que ce soit pour des meet-ups, des événements professionnels ou pour du temps associatif ou d’autres engagements personnels.

Ainsi, la question n’est pas tant de faire ou non du full remote et la place accordée au télétravail que de comprendre le sens que l’on souhaite donner au télétravail au sein de son organisation et d’être en accord avec la vision de l’entreprise. On prend le meilleur des 2 mondes puisque le distanciel est, par exemple, inadéquat à la rencontre RH, à la résolution de problèmes, au partage de pratiques. Le suivi des tâches individuelles est, en revanche, possible à distance. L’objectif est vraiment de proposer un espace de travail vivant, rassembleur pour se rencontrer et collaborer ensemble tout en respectant le besoin d’espace à soi avec jusqu’à 3 jours de télétravail possible par semaine. Derrière tout ça se trouve en effet un projet d’entreprise global : promouvoir un rapport au travail où les sujets sont traités de manière plus rapide avec des échanges plus directs et engendrer une meilleure réactivité pour répondre à une problématique ou avancer sur un sujet. En somme, faire émerger l’esprit d’initiative de chacun(e) !

Alors, est ce que vous aussi vous partagez la vision d’Antoine et de Shopopop ? Être productif(ve), efficace… Et heureux(se) de venir au travail !

Le télétravail est pratiqué à Shopopop, mais un eprésence reste obligatoire quelques jours dans la semaine. Découvrez pourquoi nous ne pratiquons pas le full remote.

Shopopop et télétravail - pourquoi nous ne faisons pas de full remote

Pourquoi Shopopop ne fait pas de full remote

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